Ce n'est pas de la schizophrènie, c'est la tactique du salami.Le Royaume Uni se prépare à sortir de l’UE, tout en se préparant à y rester.
Ils envisagent d’organiser les élections européennes, mais prévoient de les annuler.
Qui a dit schizophrène ?
Intéressants tes tableaux. Petit lapsus (révélateur?) sur le second ou ils ont intégré les USA comme pays européen....Pour une Europe homogene membres ou (candidats futurs ou potentiels) et partenaires economiques privilegies CE , tout ce qui est en dessous d'un certain niveau economique doit allez s'organiser de son cote ! Des membres solides economiquements pour une harmonisation fiscale et autres ! Oui ! Des pays membres ou candidats dans la CE avec de telles disparites ! Non * !
J'estime de mon cote qu'une Europe solide ne devrait pas compter plus de 15 membres ...
* Exception faite de la Grece et du Portugal
Monde4 Europe1 Allemagne3677.44 milliards (44470 US$ par habitant) Monde5 Europe2 Royaume-Uni2622.43 milliards (39720 US$ par habitant) Monde7 Europe3 France2582.5 milliards (38477 US$ par habitant) Monde9 Europe4 Italie1934.8 milliards (31953 US$ par habitant) Monde11 Europe5 Russie 1577.52 milliards (10743 US$ par habitant) Monde14 Europe6 Espagne1311.32 milliards (28157 US$ par habitant) Monde18 Europe7 Pays-Bas826.2 milliards (48223 US$ par habitant) Monde20 Europe8 Suisse678.89 milliards (80190 US$ par habitant) Monde22 Europe9 Suède538.04 milliards (53442 US$ par habitant) Monde23 Europe10 Pologne 526.47 milliards (13863 US$ par habitant) Monde24 Europe11 Belgique492.68 milliards (43324 US$ par habitant) Monde28 Europe12 Autriche416.6 milliards (47291 US$ par habitant) Monde29 Europe13 Norvège398.83 milliards (75505 US$ par habitant) Monde35 Europe14 Irlande333.73 milliards (69331 US$ par habitant) Monde36 Europe15 Danemark324.87 milliards (56308 US$ par habitant) Monde43 Europe16 Finlande251.88 milliards (45703 US$ par habitant) Monde47 Europe17 Portugal217.57 milliards (21136 US$ par habitant) Monde48 Europe18 République tchèque 215.73 milliards (20368 US$ par habitant) Monde49 Europe19 Roumanie 211.88 milliards (10818 US$ par habitant) Monde52 Europe20 Grèce200.29 milliards (18613 US$ par habitant) Monde57 Europe21 Hongrie 139.14 milliards (14225 US$ par habitant) Monde61 Europe22 Ukraine 112.15 milliards (2640 US$ par habitant) Monde66 Europe23 Slovaquie 95.77 milliards (17605 US$ par habitant) Monde74 Europe24 Luxembourg62.4 milliards (104103 US$ par habitant) Monde77 Europe25 Bulgarie 58.22 milliards (8228 US$ par habitant) Monde80 Europe26 Croatie 55.21 milliards (13383 US$ par habitant) Monde81 Europe27 Biélorussie 54.46 milliards (5728 US$ par habitant) Monde86 Europe28 Slovénie 48.77 milliards (23597 US$ par habitant) Monde87 Europe29 Lituanie 47.17 milliards (16681 US$ par habitant) Monde88 Europe30 Serbie 41.43 milliards (5900 US$ par habitant) Monde102 Europe31 Lettonie 30.26 milliards (15594 US$ par habitant) Monde104 Europe32 Estonie 25.92 milliards (19705 US$ par habitant) Monde108 Europe33 Islande23.91 milliards (70057 US$ par habitant) Monde112 Europe34 Chypre22.05 milliards (25234 US$ par habitant) Monde117 Europe35 Bosnie-Herzégovine 18.05 milliards (5148 US$ par habitant) Monde128 Europe36 Albanie 13.04 milliards (4538 US$ par habitant) Monde130 Europe37 Malte12.52 milliards (26904 US$ par habitant) Monde138 Europe38 Macédoine 11.28 milliards (5415 US$ par habitant) Monde145 Europe39 Moldavie 8.13 milliards (2290 US$ par habitant) Monde148 Europe40 Kosovo 7.24 milliards (3957 US$ par habitant) Monde151 Europe41 Île de Man 6.59 milliards (78730 US$ par habitant) Monde152 Europe42 Monaco6.47 milliards (168011 US$ par habitant) Monde154 Europe43 Liechtenstein6.21 milliards (164993 US$ par habitant) Monde160 Europe44 Monténégro 4.84 milliards (7783 US$ par habitant) Monde171 Europe45 Andorre3.01 milliards (39147 US$ par habitant)
Classement des pays par produit intérieur brut (PIB) en Europe
Quel est le pays le plus riche en Europe ? Classement PIB : la liste des pays les plus riches en Europeplanificateur.a-contresens.net
Les salaires minimum en Europe
www.boursorama.com
La chambre des Lord évoque aussi l'idée de voter une loi empêchant tout sortie sans accord ce qui en l'état actuel rendrait le Brexit impossible....
Bien sur qu'il y aura un report. Pour ca comme pour le reste (cf le thread sur le sommet UE-Chine) l'UE bluffe en faisant croire qu'elle a le controle, mais en fait on n'a pas assez de couilles pour montrer les crocs quand on se fait marcher sur les pieds.Impossible coté anglais mais si coté UE on ne reporte pas la sortie, elle est déjà actée...
Bien sur qu'il y aura un report. Pour ca comme pour le reste (cf le thread sur le sommet UE-Chine) l'UE bluffe en faisant croire qu'elle a le controle, mais en fait on n'a pas assez de couilles pour montrer les crocs quand on se fait marcher sur les pieds.
D'ailleurs Tusk, Merkel et Macron on deja tous les 3 annonces qu'ils etaient ouverts a un nouveau report, et certains ont meme proposes de leur propre initiative un report d'un an supplementaire ...
Dissuader les autres de sortir... ... #secte #derivesectaire #miviludesj'y vois pas un problème de "couilles" mais plutôt un intérêt général à ce que le divorce se passe au mieux.
Du reste le cas anglais plus il se prolonge dissuade les populiste en tout bords de suivre la même direction.
j'y vois pas un problème de "couilles" mais plutôt un intérêt général à ce que le divorce se passe au mieux.
Plusieurs capitales européennes ont répété que Theresa May devait présenter un plan d'action crédible. Mais beaucoup craignent aussi que les Britanniques bloquent l'Union européenne de l'intérieur en cas de report prolongé.
Une inquiétude partagée par le Belge Charles Michel. "La piste d'une extension est en effet sur la table. Mais cette piste n'est possible que s'il existe de solides garanties pour le bon fonctionnement de l'UE durant l'extension", a-t-il exprimé après son entretien "constructif" avec Mme May. "L'intégrité du marché unique reste une priorité absolue, aujourd'hui, demain et après-demain", a insisté le libéral belge.
Du reste le cas anglais plus il se prolonge dissuade les populiste en tout bords de suivre la même direction.
Sinon, c'est Brexit dur, Brexit sans deal......., puisqu'ils envisagent de demander la bonne volonte du Royaume-Uni comme condition pour une nouvelle prolongation (sinon quoi, d'ailleurs? On les mets dehors? Ah ben non c'est justement ce qu'on veut eviter).
Ils ont peut-être déduit les 317 jours de ban que tu as cumulés depuis ton inscription ...Oh
on est le 10 avril et j'ai pas eu mes points de trophée pour mes 9 ans.
Merci de rectifier
Ils ont peut-être déduit le 317 jours de ban que tu as cumulés depuis ton inscription ...
Oh
on est le 10 avril et j'ai pas eu mes points de trophée pour mes 9 ans.
Merci de rectifier
Assez éloquent cette propension et cette tendance à considérer tout mouvement ou pensée critique de l'ordre établi comme relevant du populisme.j'y vois pas un problème de "couilles" mais plutôt un intérêt général à ce que le divorce se passe au mieux.
Du reste le cas anglais plus il se prolonge dissuade les populiste en tout bords de suivre la même direction.
Salut Chris,« MODE ALPLOB ON »
Prendre quelles décisions ?
Tout le monde sait que c’est l’UE, et en particulier la Commission (désignée de manière totalement anti-démocratique, par des gouvernements vendus aux multinationales et marionnettes des multimilliardaires) qui prend toutes les décisions.
La preuve : sans gouvernement la Belgique a pu fonctionner comme si de rien n’etait, car tout était décidé par l’UE
CQFD
« MODE ALPLOB OFF »
Assez éloquent cette propension et cette tendance à considérer tout mouvement ou pensée critique de l'ordre établi comme relevant du populisme.
Pour résumer ta pensée au fil des posts, toute alternative ou contestation du concept néolibéral mondialisé relève ainsi finalement du populisme.
Salut ZnortAssez éloquent cette propension et cette tendance à considérer tout mouvement ou pensée critique de l'ordre établi comme relevant du populisme.
Pour résumer ta pensée au fil des posts, toute alternative ou contestation du concept néolibéral mondialisé relève ainsi finalement du populisme. L'homo libero-economicus relevant indubitablement de la logique Darwinienne......
Traditionnellement et ce jusqu'à récemment le populisme à la Française était un terme définissant un courant de notre extrème-droite (nationalisme conjugué à un fort concept identitaire et d'exclusion de l'étranger) puis il a été récemment dévoyé pour regrouper tout ce qui tend à la remise en cause du système et des structures dominantes dont l'UE fait parti sous simple pretexte que cela trouve écho auprès du peuple.
On retient la même logique dans la définition actuelle de notre extrème-gauche dont le programme et le sens global relève plus de la pensée socialiste des années 70 que du communisme du début du 20ème siècle ou des courants anarchistes.
Idem sur le concept de souveraineté dévoyé dans une connotation profondément nationaliste de repli sur soi alors qu'à la base c'est juste la possibilité d'un peuple de disposer librement de sa politique sur son territoire.
Les mots ont un sens et les courants de pensée une histoire. Ces glissement sémantiques progressifs deviennent assez symboliques de l'expression de la nouvelle lutte des classes que nous voyons aujourd'hui. C'est probablement le meilleur moyen d'expression de la résilience de l'oligarchie dominante. Attribuer une connotation péjorative et dangereuse à ce qui l'effraie et la titille. L'épouvantail du front national généralisé en quelque sorte.
Ainsi nous voyons donc le terme populisme décliné à toutes les sauces.
- remettre en cause l'oligarchie dominante sous pretexte qu'elle ne sert que sa cause= populisme
- remettre en cause le système financier= populisme
- lutter contre les travers de la mondialisation = populisme
- pointer du doigt l'UE pour l'ensemble de ses méfaits= populisme
- vouloir reprendre sa souveraineté = populo-nationalisme
- les manifestations = populisme/extremiste. Surtout quand c'est en France que ca se déroule car bien souvent ces mouvements sont emplis de noblesse quand ils se déroulent à l'étranger.
En opposition, nous voyons aussi apparaître le terme Bobo-populiste pour définir ceux qui en opposition du peuple défaitiste sont les grand gagnants de la mondialisation.
Terme retenu d'ailleurs par Darmanin pour qualifier son grand vizir actuel à l'époque ou il avait misé ses Kopecks sur le canasson FIllon.
Nous sommes donc tous dorénavant les populistes de quelqu'un d'autre. Un Filloniste serait pourquoi pas un Oligarcho-populiste, une sorte de bobo-populiste moins cool, plus serré du cul et qui n'à pas encore intégré les joies de la société uberisé.
Bref cela ne veut plus rien dire....
Si le monde se portait si bien, si les dérives et pathologies actuelles n'étaient qu'accidentelles et non systémiques ca resterait à la marge.
L'histoire moderne nous a prouvé que lorsque la redistribution des richesses entre les classes diverge de manière trop importante cela nous conduit inévitablement à la révolte des peuples où le virage extrème-droite. Dans tous les cas c'est du conflit.
Tous les indicateurs actuels nous alertent en ce sens et si on regarde quelque peu les indices environnementaux actuels, ce modèle vertueux semble nous conduire directement à une crise dépassant l'entendement.
Alors, quelque part s'assoir confortablement sur ces dogmes et jeter l'opprobe sur ceux qui les conteste c'est avant tout se montrer profondément passéiste mais certainement pas l'incarnation du progrès et encore moins visionnaire.....
Le futur nous appartient pour peu que ce monde se réforme et cela ne pourra se faire qu'à grand coup de régulation, sinon, droit dans le mur nous allons à grand pas....
Devant de tels enjeux, il va de soi que certaines réponses à apporter est de l'ordre supranational mais c'est franchement incompatible avec la pensée libérale actuelle qui n'est qu'au demeurant que l'expression de la pensée anarchique appliquée à l'univers économique.
Si l'anarchie te fait si peur, il me semble que tu devrais aussi t'interroger sur le modèle actuel.....
C'était Boris Johnson qui disait ça, pas Farage qui était dans un mouvement concurrent en faveur du Brexit, pas le même que Boris Johnson. Et c'est Farage qui a démenti.Ce qui relève du populisme pour moi c'est dans le cas du brexit de laisser croire qu'on peut avoir tous les avantages de l'UE sans aucuns de ses inconvénients ou de nouveaux inconvénients en contrepartie. Bref le décalage entre ce qui a été dit pendant la campagne et la réalité une fois qu'on est confronté à sa mise en place (mais à vrai dire ils ont pas attendu aussi longtemps pour dire qu'ils avaient raconté des cracks, ils l'ont avoué juste au lendemain de l'election).
Sur le Brexit, je crois qu'il était franchement assez difficile d'imaginer complètement le déroulé des opérations mais il y a quand même certains points (dont la frontière et le bordel de l'Irlande) qui aurait du être présenté au peuple lors des débats mais quelque part c'est le propre de la politique que de présenter un projet sous un angle uniquement positif.Ce qui relève du populisme pour moi c'est dans le cas du brexit de laisser croire qu'on peut avoir tous les avantages de l'UE sans aucuns de ses inconvénients ou de nouveaux inconvénients en contrepartie. Bref le décalage entre ce qui a été dit pendant la campagne et la réalité une fois qu'on est confronté à sa mise en place (mais à vrai dire ils ont pas attendu aussi longtemps pour dire qu'ils avaient raconté des cracks, ils l'ont avoué juste au lendemain de l'election).
Et en politique intérieur, l'idée selon laquelle on aurait une solution magique pour à la foi :
- baisser les impots
- augmenter le pouvoir d'achat par le salaire et les revenus étatisés
- baisser le temps de travail
- recruter à fond dans les services publique sans en sacrifier d'autres.
Oui c'est à mon sens également du populisme.
L'augmentation de la dépense publique et des salaires de manière inconsidérée ne font que créer de l'inflation, du chômage et de la dette. Accessoirement on peut aussi ajouter que la baisse du temps de travail au delà d'un certain point a également appauvri certains dans le privé et augmenté la dépense publique dans le publique.