Dans le gouvernement de Boris Johnson, des «Brexiters» fervents pour sortir de l’impasse
Pour la première fois, le nouveau premier ministre britannique a réuni jeudi 25 juillet ses principaux ministres, nommés la veille. Boris Johnson a écarté les ministres europhiles de Theresa May pour leur préférer des «Brexiters» résolus, ce qui n’écarte pas le risque de blocage à la Chambre des communes.
Extrait : Il leur faudra aller vite car l’heure tourne, à trois mois de l’échéance fixée pour le Brexit. Le
nouveau premier ministre britannique, Boris Johnson, réunit jeudi 25 juillet pour la première fois les poids lourds de son gouvernement, composé la veille. Au menu des discussions, la mise en œuvre du Brexit pour laquelle «BoJo» a demandé de
faire preuve d’optimisme après trois ans de blocage entre Londres et Bruxelles, sous le gouvernement de Theresa May.
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Les nouveaux membres du gouvernement annoncent d’ores et déjà la couleur. Exit les europhiles ou les eurosceptiques trop modérés qui renâclaient à l’idée de sortir coûte que coûte de l’Union européenne. Boris Johnson a ainsi écarté une dizaine de ministres de Theresa May, à commencer par son challenger dans la course à Downing Street,
le ministre des Affaires étrangères Jeremy Hunt . Six autres n’avaient pas attendu d’être remerciés pour claquer la porte, comme le vice-premier ministre,
David Lidington, le ministre des Finances,
Philip Hammond, celui de la Justice,
David Gauke, ou celui du Développement international,
Rory Stewart.
Souhaitant obtenir un Brexit en 99 jours, Boris Johnson a préféré réunir autour de lui une équipe de «Brexiters» fervents, qui n’hésiteront pas, s’il le fallait, à franchir le pas que Theresa May n’avait jamais voulu franchir, celui d’un Brexit sans accord. Pour le nouveau premier ministre, cette éventualité pourrait changer le cours des négociations et
forcer Bruxelles à revoir leur position sur les points de divergence avec Londres, comme
la procédure de «backstop» qui entend prévenir le rétablissement d’une frontière entre les deux Irlande, mais qui, à cette fin, maintient le Royaume-Uni dans l’orbite du droit européen pour une durée indéterminée.
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Pour la première fois, le nouveau premier ministre britannique a réuni jeudi 25 juillet ses principaux ministres, nommés la veille. Boris Johnson a écarté les ministres europhiles de Theresa May pour leur préférer des «Brexiters» résolus, ce qui n’écarte pas le risque de blocage à la...
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Le dessous des cartes va avoir son importance pour la suite , les reseaux d'influences et de soutiens americains en Grande Bretagne tant politiques que fondations risquent de changer la donne ! Soutiens dont ne beneficiait pas Madame May ...
Car ces influences existent encore notamment au niveau de l'Irlande " l'article du journal le Monde date de 2005 " , rien ne nous permet d'affirmer que ces influences n'existent plus , et on sait combien pese lourd le vote des representants irlandais dans le Brexit , aucun d'entre eux n'a interet a voir ressurgir la violence !
La communauté irlandaise américaine, forte aujourd'hui de 34 millions de personnes, a longtemps apporté un soutien politique et financier, presque inconditionnel, au Sinn Fein et à l'IRA. L'IRA aurait même reçu des armes provenant des Etats-Unis.
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Document interessant sur les fondations a parcourir de toutes facons !
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