Et en dehors des équipementiers du groupe Stellantis, il ne faut pas oublier les équipementiers tels que Valeo, Bosch, ZF ... qui ne restent pas les bras croisés non plus
Et en dehors des équipementiers du groupe Stellantis, il ne faut pas oublier les équipementiers tels que Valeo, Bosch, ZF ... qui ne restent pas les bras croisés non plus
N'oubliez pas qu’avant les smartphones Apple venir sur le marché, il y avait au moins 50 autres types de téléphones à clapet traditionnels de différentes marques. Cependant, après 5 ans, ces téléphones ne seront plus visibles sur le marché maintenant.Et en dehors des équipementiers du groupe Stellantis, il ne faut pas oublier les équipementiers tels que Valeo, Bosch, ZF ... qui ne restent pas les bras croisés non plus
HarmonyOS détrône les concurrents
Si Huawei est connu pour ses écrans et ses interfaces logicielles, ce n’est pas un hasard. À bord de l’Aito M5, on trouve un écran principal doté d’une interface qui met pratiquement tout le reste sur le marché à l’ombre. Nous avons eu la chance de tester HarmonyOS 3, et même à cette version (HarmonyOS 4 a été présenté), le système est d’une fluidité et d’une modernité à couper le souffle.
Assistants vocaux et autonomie : une avancée sans pareil
Si l’utilisation d’assistants vocaux dans les véhicules Tesla, et les autres, peut parfois laisser à désirer, les constructeurs chinois ont su tirer son épingle du jeu dans ce domaine.
Au-delà de la conduite : l’expérience à bord
L’infodivertissement ne se résume pas à un écran tactile et un assistant vocal à bord de l’Aito M5. Le véhicule propose toute une gamme d’accessoires, comme des tablettes Huawei amovibles à l’arrière, qui permettent également de contrôler diverses fonctionnalités du véhicule.
Le système de son Huawei Sound est d’une qualité exceptionnelle, au point de rivaliser avec des marques audio renommées comme Sonos, Bose ou Devialet. Les caméras sont en haute définition. L’ensemble interagit en parfaite harmonie avec l’interface : lorsqu’on approche d’une zone à risque, impliquant des manœuvres délicates, l’emplacement susceptible d’un éventuel accrochage est mis en évidence grâce à un zoom précis.
Un peu secoué
On sort incontestablement de cette démo impressionné, voire un peu secoué. Et ce n’est pas une expérience isolée ; on retrouve cette impression chez d’autres constructeurs chinois comme BYD, HiPhi, Nio, pour n’en citer que quelques-uns.
Alors, que faire maintenant ? Doit-on simplement attendre que les constructeurs chinois s’imposent en Europe ? Ou est-ce le moment pour les fabricants occidentaux de se poser des questions fondamentales sur leur approche ?
Encore une fois ne prend pas tes desirs pour des realites en sous estimant la reactivite et les developpements techonologiques en Europe , aux Etats Unis , au Japon , en Coree du Sud , etc ... dans les domaines des vehicules , batteries , raffinements des metaux rares et autres dans les annees a venir ... Essaye d'etre pragmatique je ne cesse de te le repeter ... Et par la meme occasion , prendre en consideration les agendas politiques a venir , car les surprises pourraient etre nombreuses ....Je pense qu'il serait pas correct que l'UE ouvre des enquêtes et assure le suivi des entreprises chinoises de véhicules électriques. Pourquoi ? Parce que la Chine prendra également des contre-mesures. Par exemple, elle pourrait ouvrir des enquêtes contre des entreprises automobiles européennes dans des pays tels que l'Allemagne.
La Chine pourrait également lancer des enquêtes contre des entreprises européennes telles qu'Airbus, ce qui pourrait causer des dommages économiques importants aux entreprises aéronautiques de l'UE. L'avion de ligne civil chinois C919 a été mis en service commercial et la Chine est tout à fait capable de le faire.
En outre, si l'UE agit de la sorte, elle risque de créer une île isolée pour sa propre industrie automobile, une île entourée d'une mer de voitures électriques, ce qui, bien sûr, ne sera pas le cas dans l'immédiat, mais ne peut être exclu d'ici quelques années.
Parce que les entreprises chinoises de véhicules électriques peuvent faire un layout diversifié, elles peuvent explorer le marché européen ainsi que le Moyen-Orient, l'Amérique latine, l'Amérique du Nord, la Russie, l'Asie et l'Afrique, et ne pas mettre tous leurs œufs dans le même panier. Ainsi, quels que soient les choix de l'UE, la Chine sera en mesure d'y faire face.
Je fais simplement une analyse basée sur la situation réelle, ce qui constitue une contre-mesure susceptible d'être prise par le gouvernement chinois et qui est souvent adoptée par la communauté internationale (et même autorisée par les règles de l'OMC).Encore une fois ne prend pas tes desirs pour des realites en sous estimant la reactivite et les developpements techonologiques en Europe , aux Etats Unis , au Japon , en Coree du Sud , etc ... dans les domaines des vehicules , batteries , raffinements des metaux rares et autres dans les annees a venir ... Essaye d'etre pragmatique je ne cesse de te le repeter ... Et par la meme occasion , prendre en consideration les agendas politiques a venir , car les surprises pourraient etre nombreuses ....
Concernant le C919 le moment sera venu de totalement pavoiser quand il sera propulse par les CJR-1000 A de conceptions chinoises , une avionique a l'identique , ainsi que la totalite des equipements occidentaux entrant dans sa fabrication , or nous n'en sommes pas encore la , ce n' est pourtant absence de ma part de le souligner a chaque occasion , tout comme le president Xi pourrait souligner , " Je n'ai pas besoins de chercheurs , mais de trouveurs " president Xi qui avait temporise les exclamations euphoriques provenants des dirigeants de la COMAC , et ce a l'occasion de la mise en service de l'appareil ...
Le problème n’est pas que l’UE ouvre une enquête sur la Chine, ou que la Chine ouvre une enquête sur l’UE ; le problème est ce que l’enquête va relever.Je pense qu'il serait pas correct que l'UE ouvre des enquêtes et assure le suivi des entreprises chinoises de véhicules électriques. Pourquoi ? Parce que la Chine prendra également des contre-mesures. Par exemple, elle pourrait ouvrir des enquêtes contre des entreprises automobiles européennes dans des pays tels que l'Allemagne.
Le développement rapide de l'industrie des véhicules électriques de la Chine est le résultat de l'innovation continue des entreprises chinoises orientées vers le marché dans le cadre d'une concurrence féroce, plutôt que de s'appuyer sur ce qu'il est convenu d'appeler les subventions.Le problème n’est pas que l’UE ouvre une enquête sur la Chine, ou que la Chine ouvre une enquête sur l’UE ; le problème est ce que l’enquête va relever.
Et il est probable que l’enquête de l’UE révèle des subventions non conformes aux règles de l’OMC (et ce bien que les données soient moins accessibles et plus “maquillées “), alors l’enquête de la Chine a peu de chance de révéler des manquements (tant les comptes sont contrôlés et les données accessibles).
Si tu crains l’enquête de l’UE, c’est parce que tu sais qu’elle exposera les pratiques de la Chine …
14 septembre 2023
Analyse tres instructive et documentee , cela promet de belles empoignades et autres chantages en perspectives ( Airbus et cie ) tout particulierement dans l'Union Europeenne , et en Chine envers les constructeurs europeens , mais comme a leurs fideles habitudes nos amis allemands vont tirer leurs epingles du jeu sur le dos de la communaute europeenne , en effectuant un magistral salto ...
ils ont oublié le qualificatif 'supplémentaire' car il y a déjà des droits de douane sur les produits hors EUL'Union européenne menace d'imposer des droits de douane sur les importations chinoises de voitures électriques.
« Les gigafactories jouent un rôle crucial, bien qu'elles ne soient pas suffisantes pour assurer la résilience et la croissance industrielle de ce secteur en plein bouleversement », écrivent les auteurs, emmenés par Marc-Antoine Eyl-Mazzega, directeur du Centre Energie & Climat du think tank. L'amont de la chaîne de valeur est le talon d'Achille de l'industrie automobile électrique française et européenne. »
Aujourd'hui, « la domination de la Chine au niveau mondial dans le segment ransformation des matières premières critiques est écrasante », alerte l'Ifri. Par exemple, Stellantis, d'après la documentation officielle du groupe, ne se fournit qu'auprès de raffineurs de lithium de l'empire du Milieu - faute de concurrence.
Une facture salée pour le secteur privé comme pour le public. Mais, rappelle l'Ifri, « cela sera en partie compensé par la réduction de la facture pétrolière extérieure qui revêt un enjeu économique et stratégique majeur, compte tenu de son montant de 58 milliards d'euros en 2022 ».