UE & Brexit ...

Deal or No Deal ?


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ça veut dire quoi "mutualisation de la situation monétaire"??
ça veut dire qu'on a la même monnaie et qu'elle s'affaiblit ou s’apprécie du fait de la situation économique de l'ensemble de ses acteurs...
Alors c'est certes chiant pour ceux qui vont bien quand ils doivent subir une monnaie plus faible (donc un cout du petrole et autres importations plus élevé) pour ceux qui vont mal mais c'est la logique de mutualisation d'une monnaie.

En l'espèce la France n'a pas beaucoup à se plaindre... Et comme en plus un euro un peu moins fort pourrait être favorable aux pays du sud pour exporter (enfin si nos entreprises tournent malgré le COVID)...
 
tu parles donc de la parité des monnaies dans la zone euro. 1€ grec= 1€ allemand. L'euro étant, comme tu le dis, une monnaie commune pas une monnaie unique.
Mais qui pense réellement que l'économie Grec vaut celle de l’Allemagne?
Et c'est bien tout le problème: l'euro est trop faible pour les allemands et trop fort pour la France, l'Italie, l'Espagne,la Grèce et j'en passe.

Si l'Allemagne sortait de l'euro et reviendrait au mark, 1 mark= 1€ et dans la foulée le cour du mark prendrait 30 à 40% de valeur. Alors que pour nous le franc serait dévalué de 10 à 15%. Ca correspond à notre économie, notre compétitivité, notre modèle social ect ect.
Vouloir mettre tout le monde dans le même moule en pensant que l'on est tous pareil, identique est une ânerie.
 
En Europe, la spirale inquiétante des écarts de revenus

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En 2018, le PIB par habitant dans les différentes régions européennes variait de 30% à 263% par rapport à la moyenne européenne (30.200 euros) selon de récents chiffres d'Eurostat. La spécificité de cette étude est qu'elle révèle, à l'échelle de l'Union européenne, non seulement les contrastes entre États, mais aussi à l'intérieur de ces mêmes États.

Extrait : Brexit au Royaume-Uni, montée des populismes en Italie, "gilets jaunes" en France, votes en faveur de l'extrême droite en Allemagne... le malaise des citoyens sur le Vieux continent a pris des formes multiples depuis quelques années. La question des inégalités est au cœur des préoccupations citoyennes. La nouvelle publication d'Eurostat * publiée ce jeudi 5 mars dresse un sombre tableau des écarts de revenus dans les différentes régions européennes.

En 2018, le PIB intérieur brut régional par habitant, exprimé en standard de pouvoir d'achat pour faciliter les comparaisons internationales, variait entre 30% et 268% de la moyenne de l'Union européenne fixée à 30.200 euros pour le PIB par habitant. L'intérêt de la carte ci-dessous est qu'elle met en exergue les contrastes entre les États et au sein de ces mêmes États.

Bien que les pays de l'Est ont entamé un rattrapage par rapport à l'Ouest, la fracture est encore saisissante. Le cas de l'Allemagne est particulièrement éclairant, même 30 ans après la chute du mur de Berlin. Les habitants des Länder situés à l'Est demeurent moins bien lotis que ceux de l'Ouest. De même qu'en France, l'écart entre l'Île-de-France et les autres régions, hormis Auvergne-Rhône-Alpes, reste très marqué. En outre, la concentration des sièges sociaux de grandes entreprises dans la région francilienne peut contribuer à accentuer ce contraste.

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En Europe, la spirale inquiétante des écarts de revenus
c'est parce qu'il n'y a pas assez d'Europe. Avec plus d'Europe, la solidarité entre région battra son plein et fin de ces écarts injustifiables.
c'était la minute propagande européiste.
 
Brexit : les négociations (re) commencent

IDEE. L’UE et le Royaume-Uni ont jusqu’au 31 décembre 2020 pour établir le cadre de leurs futures relations. Les négociations promettent d’être délicates. Par Catherine Mathieu et Henri Sterdyniak, Sciences Po – USPC

Extrait : Le Brexit a été officialisé le 31 janvier 2020, neuf mois après la date du 31 mars 2019 initialement prévue, ce qui ne laisse que onze mois pour aboutir à l'accord qui devrait intervenir le 31 décembre prochain pour fixer les relations futures entre l'Union européenne et le Royaume-Uni. Jusqu'à la fin de la période de transition, le Royaume-Uni restera dans le marché unique et l'union douanière. Toutefois, cette période de transition pourrait être prolongée d'un à deux ans si les deux parties le décident conjointement avant le 1er juillet. Il n'est pas exclu que les négociations n'aboutissent pas, ce qui pourrait conduire à un Brexit sans accord.

Trois scénarios envisageables

Les négociations seront délicates. Londres doit choisir entre trois positions. Le « soft Brexit » supposerait que le Royaume-Uni se donne comme objectif premier de maintenir ses liens avec l'UE27 ; il conserverait les règlements qu'il appliquait en tant que membre de l'UE et les ferait évoluer comme ceux de l'UE. Dans ces conditions, le commerce de marchandises et de services entre le Royaume-Uni et l'UE27 ne connaîtrait pas de barrières. Cependant, le pays n'aurait gagné aucune des libertés souhaitées par les partisans du Brexit en termes de réglementation ; il devrait s'aligner sur des règlements sur lesquels il n'aurait pas son mot à dire. Le Brexit ne lui aurait apporté qu'une certaine autonomie politique et le droit de limiter l'immigration des actifs européens.


Dans un scénario de « hard Brexit », le Royaume-Uni s'exonérerait totalement des règles européennes ; il pourrait entreprendre un choc de libéralisation en matière de droit du travail et de réglementation des produits, et viser à devenir un paradis fiscal et réglementaire. Dans ces conditions, l'UE mettrait des barrières à l'entrée des produits britanniques en commençant par des droits de douane selon les règles de l'Organisation mondiale du commerce, puis progressivement des barrières non tarifaires (du fait de divergences des normes et des réglementations) ; les échanges de services seraient limités (en particulier en matière financière). Le Royaume-Uni chercherait à compenser la baisse des échanges avec l'UE par des accords avec les États-Unis et d'autres pays hors Union européenne (en particulier, ceux du Commonwealth). Cependant, ce choc libéral ne correspondrait pas aux attentes des électeurs des milieux populaires qui ont voté en faveur du Brexit ; le Royaume-Uni resterait lié par les accords internationaux (ceux de l'Organisation internationale du Travail, les accords de Paris, les accords de Bâle III et de l'OMC) ; les accords commerciaux extra-européens supposeront des concessions difficiles pour Londres et ne pourront pas compenser entièrement la perte de l'accès au marché européen.

Suite de l'analyse >>>

 
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J'ai pas parlé de mutualisation des dettes mais de mutualisation de la situation monétaire. L'euro est une monnaie commune pas des finances communes.
Tu n'attaques pas l'euro de la même manière avec l’Allemagne et d'autres pays dedans comme tu attaquerais la monnaie italienne seule.
On voit d'ailleurs en l'espèce que pour le moment l'Euro s'est même plutôt renforcé du fait de la baisse des taux US et malgré la situation italienne qu'on peut déjà prévoir comme compliquée...
ça veut dire qu'on a la même monnaie et qu'elle s'affaiblit ou s’apprécie du fait de la situation économique de l'ensemble de ses acteurs...
Alors c'est certes chiant pour ceux qui vont bien quand ils doivent subir une monnaie plus faible (donc un cout du petrole et autres importations plus élevé) pour ceux qui vont mal mais c'est la logique de mutualisation d'une monnaie.
Cette argumentation n'a aucun sens, tu aurais du rester sur l'idée que d'autres pays paieront en monnaie sonnante et trébuchante, cela aurait été un peu plus crédible (mais pas trop non plus, puisque aucun pays acceptera de payer les montants nécessaires):

  • les faiblesses de l'euro sont internes (le fait que la Grèce, l'Italie et l'Espagne sont endettées de 1000 milliards d'euro envers l'Allemagne et 300 milliards envers le Luxembourg) et en aucun cas corrélées aux taux de change.

  • au contraire plus l'euro sera fort, plus cela mettre en évidence ces faiblesses internes (lors de toutes les crises de l'euro 2009/2010/2011/2015 l'euro était bien plus haut que maintenant....) car les pays les plus faibles peuvent difficilement tenir le "rythme"

  • un pays ne cherche pas forcément à voir une monnaie haute, il faut que sa valeur soit au niveau de sa compétitivité (aucune banque centrale au monde n'a dans son mandat le taux de change.... Par contre beaucoup, mais pas la BCE, a la recherche du plein emploi...). Lorsqu'il sera question des dettes Target 2, l'Allemagne s'en fichera éperdument que l'euro sera à 1.12$ ou 1.08$..

  • encore une fois tu parles d' "attaque", comme si il y avait un banc de requin qui ne fait que ça que d'attaquer des monnaies... Mais une monnaie qui est à son niveau n'est pas attaquable. L'euro serait à son niveau (mort depuis 10 ans) et si on essayait pas du (re-)créer artificiellement (ie. SME) il n'y aurait pas particulièrement d' "attaques".

  • le taux de change n'est qu'un prix comme un autres, dixit les économistes monétariste, pas une fin en soi, ça n'a aucun sens d'avoir un fétichisme là-dessus, surtout lorsque l'on échange principalement avec des pays qui ont la même monnaie... Les taux d'intérêts ont plus de sens car ils irriguent toute l'économie du pays, y compris les 70% de l'économie qui n'exporte/importe pas -notamment les PME qui sont la principale réserve d'emplois..-... Mais l'action de la BCE là dessus peut difficilement convenir à tout le monde..

En l'espèce la France n'a pas beaucoup à se plaindre... Et comme en plus un euro un peu moins fort pourrait être favorable aux pays du sud pour exporter (enfin si nos entreprises tournent malgré le COVID)...
En l'espèce les européistes n'ont pas beaucoup de leçon de morale à donner sur l'endettement (tout particulièrement lorsque l'on soutient le bilan de Sarkozy, dette + 25% alors que le point de départ du quinquennat était un état en faillite). La dette française est 100% dûe à des gouvernement européistes français.

Par effectivement les pays du sud profiteraient d'une euro plus faible, et si par bonheur l'Italie revenait à la lire, l'avantage compétitif sera fort sur la France du fait de nos similarités de tissus industriels, un retour au franc illico prendra une consistence tangible.
 
Cette argumentation n'a aucun sens, tu aurais du rester sur l'idée que d'autres pays paieront en monnaie sonnante et trébuchante, cela aurait été un peu plus crédible (mais pas trop non plus, puisque aucun pays acceptera de payer les montants nécessaires)

Bah tu as ta vision, moi la mienne donc non je ne vais pas répondre avec tes mots et vision étriquée.

Je ne cherche du reste pas à convaincre un militant UPR qu'il faut faire l'Euro. Et jusqu'à maintenant on ne peut pas dire que vous ayez réussi à convaincre les foules... Le Front National a même fait machine arrière vu ce que cela lui a coûté aux présidentielles.
 
Bah tu as ta vision, moi la mienne donc non je ne vais pas répondre avec tes mots et vision étriquée.
En quoi rappeler des faits et d'en tirer des conclusions est avoir une vision étriquée?

Je ne cherche du reste pas à convaincre un militant UPR qu'il faut faire l'Euro. Et jusqu'à maintenant on ne peut pas dire que vous ayez réussi à convaincre les foules... Le Front National a même fait machine arrière vu ce que cela lui a coûté aux présidentielles.
Pourquoi parles-tu des résultats électoraux? Ont ils une incidences sur les évolutions de l'économie suite au coronavirus? Genre les crises de l'euro de 2009/2010/2011/2015 avaient elles été prévues par des partis qui ont été élus ?

Tu te fais ton opinion par toi même ou alors tu n'as pas assez de personnalité et tu te contentes de suivre la majorité?

Si on avait fait des votes en 1491 sur le fait que que la terre soit ronde, en 1615 que la terre tourne autour du soleil, en 1963 que le boson de Higgs est à la base de beaucoup de chose, etc.... je ne suis pas sûr que les résultats auraient été à la hauteur de ce qu'il en est réellement.

C'est toujours toi qui parle des résultats l'UPR, quand tu es incapable de répondre sur le fond des choses. Même quand ça concerne d'autres pays...
 
Bah si tu veux sortir de l'Euro tu comptes le faire comment si ce n'est en passant par les urnes ?
Ne t'inquiète pas pour ça, j'ai déjà mon deuil que l'électorat français le décide.

Je ne fais que commenter ce qu'il se passe et des conséquences possibles, à la lumière de ce qu'il s'est passé il y a 10 ans. Ce que je souhaite et ce que l'électorat français vote, même quand c'est un vote européiste, n'a que très peu d'importance sur les tensions Allemagne - Italie et sur les autres pays en général.

Après, soit on subît, soit on contrôle. Vous choisissez de subir, je préférerai que l'on contrôle en organisant la fin de cette chimère anthropolo/économique.

Je pense que l'on sortira de l'euro de manière non souhaitée, parce qu'on ne fait pas l'euro tout seul, et si l'Italie le décide alors on en aura pas trop le choix, que l'UPR fasse 1% ou 10%, et que les dirigeants français aux manettes soient élus pour rester/approfondir l'euro system ne changera rien à l'affaire (sauf au niveau des dégâts). Et l'intitulé de ce fil de discussion est justement Economie mondiale " corona virus consequences " ...
 
Là dessus on ne sera pas forcément en désaccord.
C'est avoir une vision étriquée que des penser que les Allemands et les Italiens pensent pareils, et pareils que nous en plus ^^

Attention, analyse Toddienne:

L'Allemagne est un pays dont la structure familiale a longtemps pratiqué la primogéniture, cela veut dire que c'est le fils ainé qui hérite du patrimoine des parents au détriment des autres frères et soeurs afin d'éviter l'éparpillement de la richesse familiale. Cela induit 2 choses: l'acceptation de l'inégalité et le sens du sacrifice pour le bien commun. L'Allemagne ajoute en plus la couche "souche", ce qui veut dire que l'aîné reste vivre avec ses parents avec l'objectif de perpétuer l'exploitation familiale. C'est un marqueur d'autorité.

L'Italie et la France ont des structures familiales qui sont en faveur de l'égalité d'héritage entre les frères et soeurs, et qui plus est de tradition plus libertaire (les enfants quittent le foyer familial pour créer le leur).

Certes ces différences de structures familiales ne sont plus forcément d'actualité (à cause de l'urbanisation et bien d'autres choses) mais les concepts inhérents ont structuré ces pays au cours des siècles passés.

On se retrouve avec donc l'Allemagne qui a fait les sacrifices (lois Hartz etc) pour s'assurer une prospérité collective, ayant intégré le concept d'inégalité (qui peut donc s'appliquer avec d'autres pays) qui devrait payer pour des pays diletants qui pensent que tout le monde est pareil et égal. Il ne faut pas être grand clerc pour voir que tout ceci ne mènera nul part.
 
C'est avoir une vision étriquée que des penser que les Allemands et les Italiens pensent pareils, et pareils que nous en plus

Non je pense qu'on est tous conscients des difficultés à faire l'Europe.
Mais tu retrouves le même niveau de différences culturelles entre certaines régions de France et ne parlons pas de l'antagonisme Italie du Nord avec Italie du sud.
Donc si on s'arrêtait qu'aux réflexes humains de repli sur eux même on ne tenterait et ne réaliserait pas grand chose... ça s'applique aussi aux aventures entrepreneuriales.
 
Non je pense qu'on est tous conscients des difficultés à faire l'Europe.
Mais tu retrouves le même niveau de différences culturelles entre certaines régions de France et ne parlons pas de l'antagonisme Italie du Nord avec Italie du sud.
Donc si on s'arrêtait qu'aux réflexes humains de repli sur eux même on ne tenterait et ne réaliserait pas grand chose...
Donc la création de pays indépendants au cours de l'Histoire est un accident en fait, c'est ça?

Le Japon n'a rien tenté ni rien réalisé? Le Royaume-Uni? L'Allemagne a-t-elle du attendre d'être unifiée avant d'influer sur le cours de l'Histoire européenne? Tout cela n'a aucun sens. D'une manière générale, les pays européens étaient ils repliés avant la création de l'UE et ont-ils du attendre 1992 et le traité de Maastricht avant de s'ouvrir aux autres, de tenter et de réaliser quelque chose, et l'URSS était un terrain d'innovation ?

Au contraire..... Si les pays européens ont été si avancés par rapport aux autres c'est parce qu'ils avaient chacun leur particularité et ont tenté des choses indépendamment des autres... Et lorsque cela fonctionnait, les autres pays copiaient. C'est l'émulation qui nous a fait avancer (parfois trop lorsqu'il y avait la guerre, mais l'Humanité dans son ensemble a appris à diminuer sensiblement cet aspect des choses). Si on avait eu une commission européenne en 1491 qui aurait du statuer sur le voyage de Christophe Colomb, nul doute qu'elle aurait refusé... D'ailleurs il n'y a plus de nouvel Airbus, Ariane Espace, etc.. Juste des annonces tous les 6 mois de la nécessité de faire un Airbus de quelque chose, mais rien de concret au bout du compte.


Par ailleurs, ce sondage Paris Match est très instructif:

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Non je pense qu'on est tous conscients des difficultés à faire l'Europe.
Mais tu retrouves le même niveau de différences culturelles entre certaines régions de France et ne parlons pas de l'antagonisme Italie du Nord avec Italie du sud.
Donc si on s'arrêtait qu'aux réflexes humains de repli sur eux même on ne tenterait et ne réaliserait pas grand chose... ça s'applique aussi aux aventures entrepreneuriales.
Bonjour Mathieu
Le mieux serait peut etre d'ouvrir un sujet Euro ? ;)
Merci
 
Je ne me sens pas européen non plus au même niveau que français et il y a aucune raison que ce soit le cas. L’Europe n'est pas une nationalité, on a pas fait le choix d'une Europe fédérale à l'inverse des américains.

Bref tu mélange plein de choses sans beaucoup de rapport.
 
Je ne me sens pas européen non plus au même niveau que français et il y a aucune raison que ce soit le cas. L’Europe n'est pas une nationalité, on a pas fait le choix d'une Europe fédérale à l'inverse des américains.

Bref tu mélange plein de choses sans beaucoup de rapport.
C'est évident.

...

Tu parles des différences entre pays et entre régions, notamment françaises. La réalité c'est que presque tout le monde se sent français. Donc les différences entre régions ne sont pas un frein à une politique nationale.

Qu'on applique cette logique entre les pays au niveau européen et là les résultats sont tout autres.
 
Non je pense qu'on est tous conscients des difficultés à faire l'Europe.
Mais tu retrouves le même niveau de différences culturelles entre certaines régions de France et ne parlons pas de l'antagonisme Italie du Nord avec Italie du sud.
Donc si on s'arrêtait qu'aux réflexes humains de repli sur eux même on ne tenterait et ne réaliserait pas grand chose... ça s'applique aussi aux aventures entrepreneuriales.
il manque un mot dans tes phrases: la Nation avec un grand N. Pour reprendre ton exemple italien, tu crois vraiment que ceux du nord préfèrent donner de l'argent pour un pays étranger ou pour le sud de l'Italie? On peut poser la même question pour toutes les régions/départements français (DOM et TOM compris).
 
UK ports to press government on freeports

UK ports can add value to the economy, the BPA says. But they also need government support for infrastructure and planning

Extrait : THE British Ports Association has called for an early meeting with new maritime minister Kelly Tolhurst to present its latest briefing paper on the future of UK ports.

The BPA’s 2020 New Government Briefing outlines how industry and government can work in partnership to deliver for ports and fuel a successful economy.
“As the new government takes shape, the briefing paper outlines the leading topical issues that the UK ports industry is currently facing,” the BPA said.
The briefing paper outlines the ports organisation’s requests to the government to utilise ports to “recharge” the UK economy.
These include the adoption of a freeports strategy, priority funding for infrastructure projects, streamlined planning and consent, and UK content rules for offshore wind development

Lien retiré


Une chose est certaine le Royaume Uni fait ses preparatifs a une rupture des accords commerciaux avec l'Union Europeenne qui arrivent a echeance le 31 Decembre 2020 , quelque soit l'issue a cette echeance accord ou non , il jouent sur les 2 tableaux ! On sera deja fixe en Juillet c'est la date tampon pour une extension post 2020 ...
 
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