ACCORD DE COMMERCE ET DE COOPÉRATION ENTRE L'UK ET L'UE
Avant-propos : Le présent accord avec l'Union européenne vise à honorer l'instruction du peuple britannique - exprimée lors du référendum de 2016 et des élections générales de l'année dernière - de reprendre le contrôle de nos lois, de nos frontières, de notre argent, de notre commerce et de notre pêche. Il modifie la base de nos relations avec nos voisins européens, qui passent du droit communautaire au libre-échange et à la coopération amicale, et cet accord ambitieux, dont on estime avec soin qu'il profitera à tous, est le premier que l'UE ait jamais conclu en autorisant des droits de douane et des quotas nuls. Nous préserverons les immenses avantages du libre-échange pour des millions de personnes au Royaume-Uni et dans toute l'Europe, tout en permettant au Royaume-Uni de recouvrer pleinement son indépendance nationale.
À 23 heures, le 31 décembre, nous reprendrons le contrôle de notre politique commerciale et quitterons l'union douanière et le marché unique de l'UE. Nous reprendrons le contrôle de nos eaux, ce traité affirmant la souveraineté britannique sur nos vastes richesses marines. Nous reprendrons le contrôle de notre argent en mettant fin à d'importants paiements à l'UE. Nous reprendrons le contrôle de nos frontières et introduirons notre nouveau système d'immigration à points au début de l'année prochaine. Plus important encore, l'accord prévoit que le Royaume-Uni reprendra le contrôle de nos lois, n'accordant aucun rôle à la législation européenne et ne donnant aucune compétence à la Cour de justice européenne.
Les seules lois auxquelles nous devrons obéir sont celles du Parlement que nous élirons. Si nous avons fait notre part de compromis au cours des négociations, nous n'avons jamais dérogé à l'objectif de restauration de la souveraineté nationale, qui est l'objectif central du départ de l'UE. J'ai toujours dit que Brexit n'était pas une fin mais un début : le début d'une nouvelle ère de changement et de renouveau national, le prochain acte de l'histoire de notre pays. Nous retrouverons la capacité d'exercer des pouvoirs qui ont trop longtemps été l'apanage de Bruxelles.
Nous allons maintenant nous servir de ces outils pour apporter les changements auxquels les gens aspirent et, ce faisant, nous restaurerons la confiance dans notre démocratie. Le Royaume-Uni fait bien sûr partie de l'Europe sur le plan culturel, spirituel et émotionnel. Cet accord prévoit une coopération étroite et amicale avec nos voisins dans tous les nombreux domaines où nos valeurs et nos intérêts coïncident.
J'espère vivement que ce traité, qui s'enracine dans le sentiment que la Grande-Bretagne se considère comme un pays fier d'être européen, contribuera à rapprocher les peuples et à apaiser certaines des divisions créées par le référendum d'il y a plus de quatre ans. Il nous incombe maintenant de tirer pleinement parti de la liberté d'action que notre pays a retrouvée. L'année prochaine, nous aurons l'occasion de montrer ce que Global Britain peut faire, en nous réaffirmant comme une nation libérale de libre-échange et une force du bien dans le monde.
Le très honorable Boris Johnson, Premier ministre
Ce doit etre un condense extrait de l'accord ...
Avant-propos : Le présent accord avec l'Union européenne vise à honorer l'instruction du peuple britannique - exprimée lors du référendum de 2016 et des élections générales de l'année dernière - de reprendre le contrôle de nos lois, de nos frontières, de notre argent, de notre commerce et de notre pêche. Il modifie la base de nos relations avec nos voisins européens, qui passent du droit communautaire au libre-échange et à la coopération amicale, et cet accord ambitieux, dont on estime avec soin qu'il profitera à tous, est le premier que l'UE ait jamais conclu en autorisant des droits de douane et des quotas nuls. Nous préserverons les immenses avantages du libre-échange pour des millions de personnes au Royaume-Uni et dans toute l'Europe, tout en permettant au Royaume-Uni de recouvrer pleinement son indépendance nationale.
À 23 heures, le 31 décembre, nous reprendrons le contrôle de notre politique commerciale et quitterons l'union douanière et le marché unique de l'UE. Nous reprendrons le contrôle de nos eaux, ce traité affirmant la souveraineté britannique sur nos vastes richesses marines. Nous reprendrons le contrôle de notre argent en mettant fin à d'importants paiements à l'UE. Nous reprendrons le contrôle de nos frontières et introduirons notre nouveau système d'immigration à points au début de l'année prochaine. Plus important encore, l'accord prévoit que le Royaume-Uni reprendra le contrôle de nos lois, n'accordant aucun rôle à la législation européenne et ne donnant aucune compétence à la Cour de justice européenne.
Les seules lois auxquelles nous devrons obéir sont celles du Parlement que nous élirons. Si nous avons fait notre part de compromis au cours des négociations, nous n'avons jamais dérogé à l'objectif de restauration de la souveraineté nationale, qui est l'objectif central du départ de l'UE. J'ai toujours dit que Brexit n'était pas une fin mais un début : le début d'une nouvelle ère de changement et de renouveau national, le prochain acte de l'histoire de notre pays. Nous retrouverons la capacité d'exercer des pouvoirs qui ont trop longtemps été l'apanage de Bruxelles.
Nous allons maintenant nous servir de ces outils pour apporter les changements auxquels les gens aspirent et, ce faisant, nous restaurerons la confiance dans notre démocratie. Le Royaume-Uni fait bien sûr partie de l'Europe sur le plan culturel, spirituel et émotionnel. Cet accord prévoit une coopération étroite et amicale avec nos voisins dans tous les nombreux domaines où nos valeurs et nos intérêts coïncident.
J'espère vivement que ce traité, qui s'enracine dans le sentiment que la Grande-Bretagne se considère comme un pays fier d'être européen, contribuera à rapprocher les peuples et à apaiser certaines des divisions créées par le référendum d'il y a plus de quatre ans. Il nous incombe maintenant de tirer pleinement parti de la liberté d'action que notre pays a retrouvée. L'année prochaine, nous aurons l'occasion de montrer ce que Global Britain peut faire, en nous réaffirmant comme une nation libérale de libre-échange et une force du bien dans le monde.
Le très honorable Boris Johnson, Premier ministre
Travel or do business in Europe: Brexit guidance
Find out how new Brexit rules apply to things like travelling, working, studying and doing business with Europe in or with EU countries.
www.gov.uk
Ce doit etre un condense extrait de l'accord ...
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